POURQUOI IL FAUT EVITER LES EDITEURS DEBUTANTS

Certains auteurs jeunesse, qui se croient plus malins que les autres en n'ayant ni coach ni avocat, commencent à s'en mordre les doigts. Face à de "jeunes" éditeurs sans scrupule (et/ou souvent ignorants des lois), ils ont un mal fou à se faire payer leurs droits d'auteurs.

Voici ce que l'un de ces éditeurs débutants avouait lors d'un colloque :

" Pendant plusieurs années, nous nous sommes débrouillés tout seul. En Province, les comptables et les avocats spécialisés dans l'édition étant plus que rares. Pendant des années, il a fallu nous confronter aux difficultés de la rédaction des contrats. Il y a pas mal de trucs et astuces à connaître que nous avons dû trouver tout seul . Nous avons fait beaucoup d'erreurs, et rectifié autant. Enfin, par rapport aux droits d'auteur, nous aimerions savoir ce qui se fait chez les autres, car nous avons mis 5 ans à établir une norme".

Ce petit éditeur a adhéré depuis au Syndicat National de l'Edition qui lui a appris à rédiger un contrat-type.
Mais les autres ?
Avant de signer votre prochain contrat, demandez au petit éditeur s'il est adhérent du SNE.
C'est déjà un début de preuve de sérieux !

Signalons pour mémoire, qu'il faut au minimum 2 ans d'activité dans l'édition pour adhérer au SNE. .

Vous pouvez consulter la liste des membres du SNE ici
http://www.sne.fr/pages/qui-sommes-nous-/les-editeurs-du-sne.html