RENCONTRE INTER PROS: QUEL ROMAN POUR LES 10-15 ANS ?
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RENCONTRE INTER PROS: QUEL ROMAN POUR LES 10-15 ANS ?
Organisée par L’Office régional culturel de Champagne-Ardenne / Centre régional du livre
26 septembre 2006
Complexe agricole du Mont-Bernard
Centre de conférences Gabriel Rigot
Châlons-en-Champagne
Le livre pour la jeunesse reste, en terme commercial, le secteur le plus dynamique de l’édition. Mais tous les prescripteurs notent que si les enfants et les adolescents aiment lire, le temps qu’ils consacrent à la lecture diminue considérablement lorsqu’ils atteignent huit à dix ans. Pourquoi cette désaffection ? Sans doute plusieurs faits y participent-ils : les parents sont eux-mêmes peu lecteurs, les sollicitations sont nombreuses et surtout, peut-être, la classe d’âge des 10-15 ans manque de conseils de lecture.
Dans le cadre de ses actions en faveur du jeune public, l’Office régional culturel de Champagne-Ardenne/Centre régional du livre organise une rencontre interprofessionnelle intitulée « Quels romans proposer aux 10-15 ans ? », le mardi 26 septembre 2006, à Châlons-en-Champagne.
Destinée aux professionnels du livre de Champagne-Ardenne et du Grand Est – qu’ils soient bibliothécaires, enseignants, libraires, documentalistes… – cette journée leur propose un programme riche de rencontres et d’échanges directs avec les intervenants invités.
L'ETAT DES LIEUX:
Plusieurs éléments ont marqué l’édition de livres pour la jeunesse durant ces dernières années :
- l’effet « best-seller », auquel on associe la série Harry Potter dont plus de trente millions de volumes ont été vendus à ce jour, mais qui ne se limite pas aux ouvrages de Joanne Kathleen Rowling ;
- l’impact de l’audiovisuel, garant de vente d’ouvrages en quantité, par l’intermédiaire de films, de dessins animés ou de séries télévisées ;
- la production toujours croissante d’ouvrages pour la jeunesse : 4432 titres en 1998, 6588 en 2004, soit une augmentation de près de 50 % en moins de dix ans ;
- la naissance de nouvelles maisons d’édition, les changements d’équipe, les rachats et les restructurations de plusieurs autres, entraînant des réorientations de politiques éditoriales.
Submergé par la vague de la surproduction, sans repère puisque la critique fait cruellement défaut dans le domaine du livre pour la jeunesse, le public, quant à lui, a réagi avec les moyens dont il disposait. Ce faisant, il renforçait les mouvements de l’industrie éditoriale puisque le libraire indépendant, attentif aux parutions et remplissant le rôle de conseiller auprès de sa clientèle, tend à disparaître. D’où une tendance à acquérir les « livres dont on parle », que ce soit à la télévision ou dans les cours de récréation, ou à se replier sur des valeurs sûres, auteurs reconnus ou éditeurs qui ont fait leurs preuves.
Dans le même temps, l’abondance de produits culturels, notamment à destination des jeunes, liée à la stagnation du pouvoir d’achat, conduit les acheteurs vers les ouvrages édités en format de poche. Ceux-ci représentent un tiers des achats de livres pour la jeunesse. Dans ces conditions, il est bien difficile pour un nouvel auteur d’apparaître, en grand format, s’il n’est pas fortement médiatisé.
LES BONNES QUESTIONS ?
Les conseils de lecture ne peuvent être donnés que par des adultes, notamment par les bibliothécaires, enseignants, libraires et documentalistes. Mais le besoin de repères dans la production foisonnante des romans destinés aux 10-15 ans est manifeste au sein de la profession. C’est pourquoi l’ORCCA / CRL a fait appel à des spécialistes de la littérature de jeunesse, à des écrivains et à des éditeurs, pour tenter de répondre à ces questions:
Quels sont les héros d’aujourd’hui ?
Comment écrit-on pour les adolescents ?
Les attentes des prescripteurs rejoignent-elles celles des jeunes lecteurs ?
Comment se crée une collection ?
Force est de constater que les professionnels de la région œuvrent chacun dans leur domaine de compétence – culturel, éducatif ou social – sans avoir l’occasion de se rencontrer et donc d’échanger leurs expériences. C’est donc pour essayer de remédier à cet état de fait que l’ORCCA / CRL a organisé cette journée.
L'objectif de l’ORCCA / CRL est donc de créer un moment privilégié d’échanges entre ses partenaires régionaux et ceux qu’il est si difficile d’approcher, qu’ils soient éditeurs ou responsables de collection. Le but de cette journée de formation est bien de permettre aux participants de questionner directement ceux qui sont à l’origine des publications afin de mieux comprendre leur démarche. Ces échanges, de nature collective lors de la table ronde, prendront une forme individualisée, plus précise et personnelle, durant la visite des stands tenus par les éditeurs (*) eux-mêmes.
Cette journée de sensibilisation tentera de créer des passerelles entre les uns et les autres.
[/b]
POUR VOUS INSCRIRE (nombre de places limitées !), ENVOYEZ RAPIDEMENT UN EMAIL A sylvie.truffet@orcca.asso.fr
====================================
(*) LES EDITEURS PRESENTS :
Leurs ouvrages, répartis en 32 collections, seront exposés sur des stands individualisés. Les éditeurs et les participants pourront échanger impressions, remarques, questions… durant une heure et demi.
ACTES SUD JUNIOR
Les Couleurs de l’histoire, Cactus Junior, Les Petits Polars, Raisons d’enfance, Ciné-roman, Les Romans
ALBIN MICHEL JEUNESSE
Wiz
BAYARD JEUNESSE
Estampille, Millézime, Les romans de Je Bouquine, les hors séries littéraires, la revue Je Bouquine
BELEM ÉDITIONS
Prémices
CASTERMAN
Romans Casterman Feeling et Romans Casterman Junior
L’ÉCOLE DES LOISIRS
Neuf, Médium
FLAMMARION – PÈRE CASTOR
Castor Poche, Tribal
GALLIMARD JEUNESSE
Folio Junior, Hors-Piste, Scripto
GRASSET-JEUNESSE
Lampe de poche préadolescent et adolescent
J’AI LU
J’ai lu jeunesse
MAGNARD JEUNESSE
Tipik Junior
POCKET JEUNESSE
Pocket Junior
SEUIL JEUNESSE
Fiction
SYROS JEUNESSE
Tempo, Les uns les autres, Souris noire, Rat noir
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LES AUTEURS INTERVENANTS :
LES INTERVENANTS DE LA RENCONTRE
DANIEL DELBRASSINE
Enseignant en lycée technique et auteur d’une thèse de doctorat consacrée au « roman contemporain adressé aux adolescents » (Université de Liège, 2005), il est également chargé de la formation des bibliothécaires belges sur le roman pour la jeunesse et collabore régulièrement à la revue Lectures du Centre de lecture publique (Ministère de la Culture).
JEAN-BAPTISTE COURSAUD
Traducteur du norvégien et du danois, spécialiste de littérature pour la jeunesse et de littérature des pays scandinaves, il est également directeur de collection aux éditions Gaïa.
SHAÏNE CASSIM
Shaïne Cassim est née le 26 septembre 1966 à Madagascar. D’origine indienne, elle vit en France depuis 1973. Un bac littéraire en poche, elle a fait des études de lettres. Lectrice chez Hachette Jeunesse, puis traductrice, elle a été directrice de collection chez Pocket Jeunesse pendant cinq ans. Elle est actuellement éditrice de la collection « Wiz » chez Albin Michel. Elle a publié de nombreux romans pour adolescents et un roman pour adultes. « Éditer les autres écrivains et donc se passionner pour des univers différents du sien, évite une forme de narcissisme : cela ouvre l'imaginaire et l'attention à d'autres que soi. Le travail d'éditrice apporte un éclairage singulier à la vie d'un livre aimé que l'on publie avec passion et enthousiasme ; il illumine également sa propre écriture en l'enrichissant de choses inattendues. » Shaïne Cassim essaie d'écrire uniquement lorsque cela relève d'une urgence, ou du moins d'une nécessité qui force presque à prendre la plume. Son prochain roman, Deux sœurs en décembre, paraît à l'automne 2006 aux éditions Thierry Magnier.
MALIKA FERDJOUKH
Malika Ferdjoukh est née en 1957 à Bougie, en Algérie. Elle vit à Paris depuis sa petite enfance. Dès qu’elle découvre, en CE1, qu’elle sait lire, elle se met à aimer les livres. Ses parents n’ayant pas les moyens de lui en acheter beaucoup, elle se rend toutes les semaines à la bibliothèque. Elle découvre alors également qu’elle aime écrire. Son premier récit n’a jamais été publié. Elle ne s’est pas pour autant découragée. Le deuxième est édité cinq ans plus tard, lorsqu’elle a 28 ans. Elle en a depuis publié une vingtaine.
Elle a été institutrice et a travaillé dans un hôpital pour enfants. Elle a arrêté pour pouvoir se consacrer pleinement à l’écriture. Inconditionnelle du cinéma américain – westerns, polars, mais surtout des comédies musicales – Malika Ferdjoukh écrit des scénarios pour des séries télévisées. Cette activité lui a permis, au départ, de vivre de l’écriture.
JEAN-PAUL NOZIÈRE
Jean-Paul Nozière est né en 1943, dans le Jura. Ses parents étant instituteurs, il s’est retrouvé à l’école très tôt et a appris à lire très vite. Après des études à la faculté de lettres de Dijon, Jean-Paul Nozière exercera le métier de professeur d'histoire et de géographie pendant environ 10 ans (Il en passera deux en Algérie, là où se situent Un été algérien et La Ville de Marseille), puis celui de documentaliste dans un collège pendant 25 ans (à Is-sur-Tille, en Côte d'or).
Il a commencé par écrire des nouvelles pour le journal de son ancienne école (Le Normalien dijonnais). La première publiée (à 23 ans) s'intitulait L'Uniforme : elle racontait – déjà ! – une histoire se déroulant pendant la guerre d'Algérie. Puis, plus rien jusqu'à l'âge de 36 ans. Son premier récit a paru en 1979, dans un numéro de J'aime lire.
Il n’est plus documentaliste depuis septembre 2003 et consacre donc tout son temps à l'écriture de romans pour adolescents et de romans policiers pour adultes – une soixantaine de titres publiés.
26 septembre 2006
Complexe agricole du Mont-Bernard
Centre de conférences Gabriel Rigot
Châlons-en-Champagne
Le livre pour la jeunesse reste, en terme commercial, le secteur le plus dynamique de l’édition. Mais tous les prescripteurs notent que si les enfants et les adolescents aiment lire, le temps qu’ils consacrent à la lecture diminue considérablement lorsqu’ils atteignent huit à dix ans. Pourquoi cette désaffection ? Sans doute plusieurs faits y participent-ils : les parents sont eux-mêmes peu lecteurs, les sollicitations sont nombreuses et surtout, peut-être, la classe d’âge des 10-15 ans manque de conseils de lecture.
Dans le cadre de ses actions en faveur du jeune public, l’Office régional culturel de Champagne-Ardenne/Centre régional du livre organise une rencontre interprofessionnelle intitulée « Quels romans proposer aux 10-15 ans ? », le mardi 26 septembre 2006, à Châlons-en-Champagne.
Destinée aux professionnels du livre de Champagne-Ardenne et du Grand Est – qu’ils soient bibliothécaires, enseignants, libraires, documentalistes… – cette journée leur propose un programme riche de rencontres et d’échanges directs avec les intervenants invités.
L'ETAT DES LIEUX:
Plusieurs éléments ont marqué l’édition de livres pour la jeunesse durant ces dernières années :
- l’effet « best-seller », auquel on associe la série Harry Potter dont plus de trente millions de volumes ont été vendus à ce jour, mais qui ne se limite pas aux ouvrages de Joanne Kathleen Rowling ;
- l’impact de l’audiovisuel, garant de vente d’ouvrages en quantité, par l’intermédiaire de films, de dessins animés ou de séries télévisées ;
- la production toujours croissante d’ouvrages pour la jeunesse : 4432 titres en 1998, 6588 en 2004, soit une augmentation de près de 50 % en moins de dix ans ;
- la naissance de nouvelles maisons d’édition, les changements d’équipe, les rachats et les restructurations de plusieurs autres, entraînant des réorientations de politiques éditoriales.
Submergé par la vague de la surproduction, sans repère puisque la critique fait cruellement défaut dans le domaine du livre pour la jeunesse, le public, quant à lui, a réagi avec les moyens dont il disposait. Ce faisant, il renforçait les mouvements de l’industrie éditoriale puisque le libraire indépendant, attentif aux parutions et remplissant le rôle de conseiller auprès de sa clientèle, tend à disparaître. D’où une tendance à acquérir les « livres dont on parle », que ce soit à la télévision ou dans les cours de récréation, ou à se replier sur des valeurs sûres, auteurs reconnus ou éditeurs qui ont fait leurs preuves.
Dans le même temps, l’abondance de produits culturels, notamment à destination des jeunes, liée à la stagnation du pouvoir d’achat, conduit les acheteurs vers les ouvrages édités en format de poche. Ceux-ci représentent un tiers des achats de livres pour la jeunesse. Dans ces conditions, il est bien difficile pour un nouvel auteur d’apparaître, en grand format, s’il n’est pas fortement médiatisé.
LES BONNES QUESTIONS ?
Les conseils de lecture ne peuvent être donnés que par des adultes, notamment par les bibliothécaires, enseignants, libraires et documentalistes. Mais le besoin de repères dans la production foisonnante des romans destinés aux 10-15 ans est manifeste au sein de la profession. C’est pourquoi l’ORCCA / CRL a fait appel à des spécialistes de la littérature de jeunesse, à des écrivains et à des éditeurs, pour tenter de répondre à ces questions:
Quels sont les héros d’aujourd’hui ?
Comment écrit-on pour les adolescents ?
Les attentes des prescripteurs rejoignent-elles celles des jeunes lecteurs ?
Comment se crée une collection ?
Force est de constater que les professionnels de la région œuvrent chacun dans leur domaine de compétence – culturel, éducatif ou social – sans avoir l’occasion de se rencontrer et donc d’échanger leurs expériences. C’est donc pour essayer de remédier à cet état de fait que l’ORCCA / CRL a organisé cette journée.
L'objectif de l’ORCCA / CRL est donc de créer un moment privilégié d’échanges entre ses partenaires régionaux et ceux qu’il est si difficile d’approcher, qu’ils soient éditeurs ou responsables de collection. Le but de cette journée de formation est bien de permettre aux participants de questionner directement ceux qui sont à l’origine des publications afin de mieux comprendre leur démarche. Ces échanges, de nature collective lors de la table ronde, prendront une forme individualisée, plus précise et personnelle, durant la visite des stands tenus par les éditeurs (*) eux-mêmes.
Cette journée de sensibilisation tentera de créer des passerelles entre les uns et les autres.
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POUR VOUS INSCRIRE (nombre de places limitées !), ENVOYEZ RAPIDEMENT UN EMAIL A sylvie.truffet@orcca.asso.fr
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(*) LES EDITEURS PRESENTS :
Leurs ouvrages, répartis en 32 collections, seront exposés sur des stands individualisés. Les éditeurs et les participants pourront échanger impressions, remarques, questions… durant une heure et demi.
ACTES SUD JUNIOR
Les Couleurs de l’histoire, Cactus Junior, Les Petits Polars, Raisons d’enfance, Ciné-roman, Les Romans
ALBIN MICHEL JEUNESSE
Wiz
BAYARD JEUNESSE
Estampille, Millézime, Les romans de Je Bouquine, les hors séries littéraires, la revue Je Bouquine
BELEM ÉDITIONS
Prémices
CASTERMAN
Romans Casterman Feeling et Romans Casterman Junior
L’ÉCOLE DES LOISIRS
Neuf, Médium
FLAMMARION – PÈRE CASTOR
Castor Poche, Tribal
GALLIMARD JEUNESSE
Folio Junior, Hors-Piste, Scripto
GRASSET-JEUNESSE
Lampe de poche préadolescent et adolescent
J’AI LU
J’ai lu jeunesse
MAGNARD JEUNESSE
Tipik Junior
POCKET JEUNESSE
Pocket Junior
SEUIL JEUNESSE
Fiction
SYROS JEUNESSE
Tempo, Les uns les autres, Souris noire, Rat noir
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LES AUTEURS INTERVENANTS :
LES INTERVENANTS DE LA RENCONTRE
DANIEL DELBRASSINE
Enseignant en lycée technique et auteur d’une thèse de doctorat consacrée au « roman contemporain adressé aux adolescents » (Université de Liège, 2005), il est également chargé de la formation des bibliothécaires belges sur le roman pour la jeunesse et collabore régulièrement à la revue Lectures du Centre de lecture publique (Ministère de la Culture).
JEAN-BAPTISTE COURSAUD
Traducteur du norvégien et du danois, spécialiste de littérature pour la jeunesse et de littérature des pays scandinaves, il est également directeur de collection aux éditions Gaïa.
SHAÏNE CASSIM
Shaïne Cassim est née le 26 septembre 1966 à Madagascar. D’origine indienne, elle vit en France depuis 1973. Un bac littéraire en poche, elle a fait des études de lettres. Lectrice chez Hachette Jeunesse, puis traductrice, elle a été directrice de collection chez Pocket Jeunesse pendant cinq ans. Elle est actuellement éditrice de la collection « Wiz » chez Albin Michel. Elle a publié de nombreux romans pour adolescents et un roman pour adultes. « Éditer les autres écrivains et donc se passionner pour des univers différents du sien, évite une forme de narcissisme : cela ouvre l'imaginaire et l'attention à d'autres que soi. Le travail d'éditrice apporte un éclairage singulier à la vie d'un livre aimé que l'on publie avec passion et enthousiasme ; il illumine également sa propre écriture en l'enrichissant de choses inattendues. » Shaïne Cassim essaie d'écrire uniquement lorsque cela relève d'une urgence, ou du moins d'une nécessité qui force presque à prendre la plume. Son prochain roman, Deux sœurs en décembre, paraît à l'automne 2006 aux éditions Thierry Magnier.
MALIKA FERDJOUKH
Malika Ferdjoukh est née en 1957 à Bougie, en Algérie. Elle vit à Paris depuis sa petite enfance. Dès qu’elle découvre, en CE1, qu’elle sait lire, elle se met à aimer les livres. Ses parents n’ayant pas les moyens de lui en acheter beaucoup, elle se rend toutes les semaines à la bibliothèque. Elle découvre alors également qu’elle aime écrire. Son premier récit n’a jamais été publié. Elle ne s’est pas pour autant découragée. Le deuxième est édité cinq ans plus tard, lorsqu’elle a 28 ans. Elle en a depuis publié une vingtaine.
Elle a été institutrice et a travaillé dans un hôpital pour enfants. Elle a arrêté pour pouvoir se consacrer pleinement à l’écriture. Inconditionnelle du cinéma américain – westerns, polars, mais surtout des comédies musicales – Malika Ferdjoukh écrit des scénarios pour des séries télévisées. Cette activité lui a permis, au départ, de vivre de l’écriture.
JEAN-PAUL NOZIÈRE
Jean-Paul Nozière est né en 1943, dans le Jura. Ses parents étant instituteurs, il s’est retrouvé à l’école très tôt et a appris à lire très vite. Après des études à la faculté de lettres de Dijon, Jean-Paul Nozière exercera le métier de professeur d'histoire et de géographie pendant environ 10 ans (Il en passera deux en Algérie, là où se situent Un été algérien et La Ville de Marseille), puis celui de documentaliste dans un collège pendant 25 ans (à Is-sur-Tille, en Côte d'or).
Il a commencé par écrire des nouvelles pour le journal de son ancienne école (Le Normalien dijonnais). La première publiée (à 23 ans) s'intitulait L'Uniforme : elle racontait – déjà ! – une histoire se déroulant pendant la guerre d'Algérie. Puis, plus rien jusqu'à l'âge de 36 ans. Son premier récit a paru en 1979, dans un numéro de J'aime lire.
Il n’est plus documentaliste depuis septembre 2003 et consacre donc tout son temps à l'écriture de romans pour adolescents et de romans policiers pour adultes – une soixantaine de titres publiés.
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