LES LIMITES DE LA PETITE EDITION
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LES LIMITES DE LA PETITE EDITION
Trop d'auteurs débutants (et naifs) prennent le risque de travailler avec des petits éditeurs sans expérience. Pour être édités, ils acceptent même d'écrire gratuitement ou sans à valoir sur les ventes.
Or, tout travail mérite salaire. LES AUTEURS NE DOIVENT PAS DEVENIR LES BANQUIERS DES PETITS EDITEURS.
Il faut savoir que dans un marché éditorial en crise, une entreprise nouvelle sur deux COULERA AVANT DEUX ANS D'EXISTENCE !
Ne vous laissez pas baratiner par des éditeurs qui pensent pouvoir révolutionner le monde sans tenir compte des réalités commerciales.
Aujourd'hui, si les livres sont imprimés en Asie et les films tournés dans les pays de l'Est, ce n'est pas sans raison.: les charges trop lourdes, les 35 heures, le conservatisme des syndicats du livre, etc. Les délocalisations ne font que commencer !
Voici le témoignage d'un petit éditeur pris au piège de cette rude réalité pour avoir mis la charrue avant les boeufs:
" Là où les auteurs rencontrent des difficultés à se faire éditer, les petits éditeurs souffrent eux aussi à s'imposer dans un marché du livre saturé et souvent corrompu. Au niveau de la diffusion et de la distribution, les systèmes traditionnels coûtent beaucoup d’argent et ne correspondent pas à leurs besoins : c'est à dire travailler avec des libraires soucieux de les représenter dans de bonnes conditions. Avant tout, il leur faut du temps pour faire connaître leur fond, et surtout que leurs ouvrages soient visibles au sein de ces librairies....Aucune nouvelle sortie littéraire ne pourra être envisagée avant que notre propre réseau de diffusion et de distribution ne soit mis en place. Aux auteurs souhaitant nous contacter, vous devez prendre en compte nos préoccupations actuelles et si vous souhaitez travailler avec nous, il vous sera demandé patience, compréhension et collaboration."
Conclusion: la petite édition n'est pas malade... elle manque seulement de compétence en marketing. Trop d'éditeurs débutants décident de monter leur société sans aucune étude de marché ni réseau solide. Il ne suffit pas d'avoir envie pour réussir !
Or, tout travail mérite salaire. LES AUTEURS NE DOIVENT PAS DEVENIR LES BANQUIERS DES PETITS EDITEURS.
Il faut savoir que dans un marché éditorial en crise, une entreprise nouvelle sur deux COULERA AVANT DEUX ANS D'EXISTENCE !
Ne vous laissez pas baratiner par des éditeurs qui pensent pouvoir révolutionner le monde sans tenir compte des réalités commerciales.
Aujourd'hui, si les livres sont imprimés en Asie et les films tournés dans les pays de l'Est, ce n'est pas sans raison.: les charges trop lourdes, les 35 heures, le conservatisme des syndicats du livre, etc. Les délocalisations ne font que commencer !
Voici le témoignage d'un petit éditeur pris au piège de cette rude réalité pour avoir mis la charrue avant les boeufs:
" Là où les auteurs rencontrent des difficultés à se faire éditer, les petits éditeurs souffrent eux aussi à s'imposer dans un marché du livre saturé et souvent corrompu. Au niveau de la diffusion et de la distribution, les systèmes traditionnels coûtent beaucoup d’argent et ne correspondent pas à leurs besoins : c'est à dire travailler avec des libraires soucieux de les représenter dans de bonnes conditions. Avant tout, il leur faut du temps pour faire connaître leur fond, et surtout que leurs ouvrages soient visibles au sein de ces librairies....Aucune nouvelle sortie littéraire ne pourra être envisagée avant que notre propre réseau de diffusion et de distribution ne soit mis en place. Aux auteurs souhaitant nous contacter, vous devez prendre en compte nos préoccupations actuelles et si vous souhaitez travailler avec nous, il vous sera demandé patience, compréhension et collaboration."
Conclusion: la petite édition n'est pas malade... elle manque seulement de compétence en marketing. Trop d'éditeurs débutants décident de monter leur société sans aucune étude de marché ni réseau solide. Il ne suffit pas d'avoir envie pour réussir !
COACH D'AUTEURS- Nombre de messages : 175
Date d'inscription : 23/04/2006
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