NEW ZOOLAND ?
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NEW ZOOLAND ?
Une première en Nouvelle-Zélande : le "langage SMS" autorisé aux examens !
À partir de cette année, les élèves néo-zélandais du secondaire auront désormais le droit d’utiliser le langage d’abréviations qu’ils utilisent pour rédiger SMS ou e-mails, pour leurs examens écrits, a annoncé la NZQA, l’organisme de supervision des examens.
Elle prend acte du fait que ce langage est "la deuxième langue" de la plupart des adolescents. La NZQA précise qu’elle décourage toujours fortement l’usage d’autres langues que l’anglais "véritable" mais que seront considérées comme exactes des réponses qui "montrent clairement" que la question a été comprise et le programme assimilé, même si elles sont rédigées en langage SMS. Seules certaines épreuves, dont celles d’anglais, devront être impérativement rédigées en anglais.
De nombreuses voix s’élèvent contre cette décision qui suscite une vive controverse. La présidente de l’association des enseignants du secondaire admet que "les enseignants sont quotidiennement confrontés à l’utilisation du langage SMS", mais selon elle, la banalisation de cette pratique serait source d’inquiétudes et de problèmes. Plusieurs chefs d’établissement ont fait savoir qu’ils n’encourageraient pas une telle évolution.
Source : AEF et The Press, 09/11/2006
À partir de cette année, les élèves néo-zélandais du secondaire auront désormais le droit d’utiliser le langage d’abréviations qu’ils utilisent pour rédiger SMS ou e-mails, pour leurs examens écrits, a annoncé la NZQA, l’organisme de supervision des examens.
Elle prend acte du fait que ce langage est "la deuxième langue" de la plupart des adolescents. La NZQA précise qu’elle décourage toujours fortement l’usage d’autres langues que l’anglais "véritable" mais que seront considérées comme exactes des réponses qui "montrent clairement" que la question a été comprise et le programme assimilé, même si elles sont rédigées en langage SMS. Seules certaines épreuves, dont celles d’anglais, devront être impérativement rédigées en anglais.
De nombreuses voix s’élèvent contre cette décision qui suscite une vive controverse. La présidente de l’association des enseignants du secondaire admet que "les enseignants sont quotidiennement confrontés à l’utilisation du langage SMS", mais selon elle, la banalisation de cette pratique serait source d’inquiétudes et de problèmes. Plusieurs chefs d’établissement ont fait savoir qu’ils n’encourageraient pas une telle évolution.
Source : AEF et The Press, 09/11/2006
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